Elle était une fois. Ou 2 ou 3

Qui sont les femmes dans les contes ?
Des nunuches ? Des vieilles moches ?

– Des femmes héros –

Ce tour de contes est né d’une grosse colère !

Celle d’une conteuse issue d’une lignée de femmes remarquables grâce à qui elle a pu, et peut encore, planter ses racines dans une force héréditaire. Campées dans son passé, elles ont permis que sa voix se libère.

Celle d’une conteuse qui en a eu assez d’entendre dire des horreurs à propos des contes traditionnels par des gens qui n’y connaissent rien. Au cours de cette séance, Nadine Demarey, sur sa voie de conteuse de tradition orale, invite à se demander : 

  • Qui sont les femmes dans les contes ?

Des princesses un peu nunuches qu’un prince (plus ou moins charmant) viendra révéler ? Des femmes soumises ? De petits êtres sans défense ? Des faire-valoir pour les personnages masculins ? Des vieilles moches par qui le malheur arrive ? Ou bien ont-elles, comme dans la vie, des premiers rôles palpitants ? Des clés pour faire avancer les récits ? Des fulgurances pour changer le monde ? 

  • Le féminin du héros, qu’est-ce que c’est ?

 Une femme en armure qui part à la guerre ? Ou alors l’héroïsme des femmes serait-il autre ?

Les contes le savent, convoquons-les !

Philippe Carpentier, à la basse, à la guitare… Et autres. Il joue la musique qui fait respirer les mots, celle qui donne une clé pour ouvrir l’imaginaire, au gré des rythmes improvisés.

Et des chansons traditionnelles à partager ? Pourquoi pas ?

Éligible au Pass Culture
(sur le portail Adage – Chercher Cléobadie Productions)

Une version du spectacle a été pensée pour les collégiens.

Magnifique travail qui incarne de belles valeurs – Cindy

J’ai dévoré vos mots, vos expressions, vos chants, vos mélodies. Un délice – Gaëlle

Un voyage émouvant, drôle, envoûtant… Au pays des femmes – Delphine

De très belles histoires de femmes universelles comme les contes – Luc

Formidable duo. Drôle, tendre, complice… Merci pour ces instants merveilleux – Babette

On oublie tout et on s’envole ! Merci – Manuèla